Gillian Robertson pense que le Canada est son porte-bonheur | UFC 297 Mise à jour : Mardi 23 janvier 2024 16:48:04 450
Gillian Robertson a battu Polyana Viana par TKO au deuxième round samedi lors de la carte préliminaire de l'UFC 297 à la Scotiabank Arena de Toronto. Voir la carte de l'UFC 297 (Toronto) Robertson sur le moment clé du combat "Je voulais juste pleurer de bonheur. J'étais tellement excitée d'être ici, tellement excitée de marcher devant cette foule. Et évidemment, ma performance a montré que cette énergie fait une différence. Au deuxième round, je n'ai fait que porter des coups. J'essaie constamment de porter des coups et de chercher la soumission, et j'ai entendu l'arbitre lui dire deux fois, 'Il faut que tu bouges.' Donc quand je l'ai entendu dire ça, je me suis dit que c'était l'occasion de continuer et d'essayer d'obtenir un TKO." Robertson sur la recherche de records de soumissions "J'ai l'impression que je suis loin d'avoir atteint mon objectif. Je suis la deuxième pour les finitions (féminines). Je veux être la première. Et je sais que je suis sur la liste des meilleures soumissions de tous les temps, hommes ou femmes confondus. Je veux continuer à pousser jusqu'à ce que je sois à égalité avec (Charles) Oliveira sur ce point. Peu importe, je cherche la finition. Je veux pouvoir m'assurer de pouvoir amener mon adversaire au sol. Que nous soyons debout, que nous soyons au sol, que ce soit par TKO, par soumission, je veux que mon adversaire ait peur de moi où que nous soyons." Robertson sur ce qu'elle veut ensuite "Je veux juste une adversaire classée. Je veux juste quelqu'un avec un numéro à côté de son nom et je veux ça à côté du mien ensuite. "Le Canada est mon porte-bonheur. Ça doit être ça. J'ai l'impression que c'est juste l'énergie et quelque chose à ce sujet. Mes deux seuls TKOs ont été au Canada. ... Je me disais juste aujourd'hui, 'C'est un rêve devenu réalité pour moi - profite au maximum de ça.' Pouvoir combattre à l'UFC, la plus grande promotion au monde, et au Canada, chez moi. Euh, comme, Il n'y a vraiment rien de comparable, rien qui puisse se comparer à ces moments aujourd'hui." Voir aussi les articles suivants : |
|