ROGERS ARENA, VANCOUVER, BRITISH COLUMBIA, CANADA
Co-détenteur avec Dustin Poirier du record de knockouts, il révèle avoir changé d'approche pour son prochain combat, jugeant sa fixation contre-productive.
Après la plus longue pause de sa carrière, l'Équatorien explique comment l'épuisement mental et physique l'a contraint à s'éloigner de l'octogone pour se reconstruire.
Après plus d'un an d'absence, le combattant canadien explique avoir pris le temps nécessaire pour construire sa nouvelle musculature et aborder la catégorie des 155 livres de manière optimale, un changement qu'il jugeait nécessaire.
Brendan Allen, l'adversaire du Néerlandais, a tenté de minimiser ses succès. Reinier de Ridder, imperturbable, suggère à Allen d'adresser ses reproches directement aux combattants concernés, comme Robert Whittaker ou Kevin Holland.
Le combattant américain Kevin Holland révèle qu'il laisse la préparation tactique à ses entraîneurs. Pour lui, trop analyser un adversaire s'est souvent retourné contre lui et il préfère se concentrer uniquement sur sa propre performance.
À 29 ans et après des hauts et des bas, Brendan Allen estime que tous les éléments sont réunis pour entamer une véritable ascension vers la ceinture. Une victoire sur de Ridder le replacerait idéalement dans la hiérarchie.
Reinier de Ridder () vs. Brendan Allen (), Kevin Holland () vs. Mike Malott ()...
Son objectif principal est de dominer techniquement le combat. Aiemann Zahabi se dit toutefois préparé à une guerre d'usure et affirme qu'il sera le dernier homme debout si l'affrontement devient une bataille acharnée.
Consciente que rien ne stimule plus qu'un revers, la Canadienne Jasmine Jasudavicius se prépare à affronter une adversaire déterminée à rebondir. Elle se dit prête à anéantir cet élan de reconquête lors de leur confrontation.
L'une des évolutions majeures de sa préparation réside dans l'analyse de l'adversaire. Elle admet ne pas y voir l'utilité auparavant, mais travaille désormais sur une stratégie affûtée et spécifique.
Confiant dans sa puissance de frappe comme dans son jeu au sol, il se sent prêt à déjouer les plans de son adversaire dans tous les domaines.
Grâce à une collaboration constante avec l'UFC Performance Institute au cours de la dernière année, le Québécois a développé sa force physique et se sent plus puissant qu'à l'époque où il évoluait chez les 145 livres.
Levi Rodrigues a rendu un vibrant hommage à sa femme, son pilier durant sa terrible blessure. Alors qu'il voulait tout arrêter, elle l'a soutenu sans relâche, le soignant au quotidien et le convainquant de ne jamais renoncer.
Après avoir éteint Won Il Kwon, le Péruvien a affiché ses objectifs. Il cite Merab Dvalishvili et Petr Yan comme des combats de rêve, affirmant être venu à l'UFC pour marquer les esprits et décrocher le titre.
Le nouveau combattant de l'UFC, Marwan Rahiki, avoue avoir manqué de respect à Ananias Mulumba. Une erreur qui lui a valu d'être sévèrement touché et de devoir livrer le combat le plus dur de sa jeune carrière pour décrocher la victoire et son contrat.
Contrairement à ses combats précédents acceptés à la dernière minute, Kyle Prepolec a bénéficié de sept semaines pour s'affûter, une condition qu'il juge essentielle pour performer à son meilleur niveau.
Face au chaos de l'octogone, Michael Oliveira explique avoir puisé dans son expérience de militaire pour rester maître de la situation. Cette capacité à analyser et à ne pas céder à la précipitation a été la clé de sa victoire.
Wes Schultz explique que sa prise spectaculaire n'était pas planifiée et qu'il ne l'avait même jamais réussie à l'entraînement, une audace qui lui a finalement ouvert les portes de l'UFC.
Avant son combat à Vancouver, le Néerlandais réaffirme que son unique objectif est de devenir champion. Il considère sa transition réussie comme une simple étape vers le titre ultime.